En vedette !

dimanche 20 janvier 2013



Chronique du temps exigu (42)
Au fil des chroniques de l’année 2012, nous avons vu apparaître certains personnages et il serait bon que nous nous les remémorions afin de ne pas les laisser tomber dans un fatal oubli.
Il y a ceux dont j’ai cité les textes afin de me donner un peu d’oxygène. D’une part Sun-Tse (16ème  chronique) et d’autre part Apollinaire (20ème chronique).
Il y a aussi François Fierobe, auteur de « la mémoire de l’orchidée » dont j’ai promis de parler ultérieurement (35ème chronique) et je n’ai pas oublié cette promesse.
Il y a bien sur aussi certains personnages qui se sont illustrés dans l’actualité. Laissons d'aucuns continuer à fouiner dans la niche des russes et d'autres retourner au néant où ils auraient mieux fait de rester.
J’ai aussi cité Gorgone, la sœur d’Emile, mais cela était (28ème chronique) pour mémoire…
Toutefois quelques personnages du plus haut intérêt continueront à passer de ci, de là, entre et dans les lignes de ces chroniques. Et tout d’abord – et non des moindres- le Commandant du Black Pearl et son adjoint (29ème chronique) : que sont-ils devenus dans le tréfonds du lac ? Ont-ils été happés par un octopus géant ainsi que l’avait été le Nautilus du Capitaine Nemo ? Et la dame du Lac ? Apprendrons-nous quelque chose à son sujet ? Vivement qu’ils nous donnent de leurs nouvelles. Et Ocellant ? Pour ce dernier, il me semble savoir qu’il suit sa quête et je pense en avoir quelques échos incessamment.
Quant à Marondeau (14ème chronique), antiquaire, scrabbleur et deus ex machina, j’espère que vous en saurez plus sur lui dès la publication de mon prochain roman « Loin de la douleur passée ».
Restent l’amiral cap (18ème et 28ème chroniques), mon ami Tellia (22ème chronique) et le bon Docteur V. Ce dernier n’a pas fini de nous surprendre avec ses médications judicieuses et nous aurons l’occasion d’en reparler, il fait en ce moment les soldes dans une usine de chaussettes. Quant à mon ami Tellia, c'est un puits de vérités premières et je me ferai l’exégète assidu des plus éblouissantes de ses sentences. Mais l’amiral, me direz-vous ? Ah, ce cher cap, si décrié pour ses excès alcoolisés ! Je m’en voudrais de le laisser tomber dans l’oubli alors qu’il déploie des trésors d’ingéniosité maritime et terrestre en vue d’améliorer les conditions de vie de ses concitoyens. Bien sur, l’abus de cap est dangereux et je ne vous relaterai ses aventures qu’avec modération, d’autant plus que ce dernier fréquente beaucoup d’étrangers ce qui n’est pas sans risque pour sa  néanmoins robuste santé mentale.
On voit par là qu’il nous reste encore beaucoup à faire en 2013.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire