Chroniques judicieuses, malicieuses et facétieuses, le dimanche matin. Un feuilleton "Appelez-moi Fortunio" le jeudi matin. Et en prime, de la réclame pour les œuvres étonnantes de Pierre Jooris, en vente dans les meilleures librairies.
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mercredi 1 mai 2013
Le premier mai est dit être le jour de la fête du travail. Paradoxalement, beaucoup de gens ne travaillent pas ce jour-là et fêtent donc le travail en ne faisant rien. Et les salariés qui travaillent le premier mai sont censés être payés double. C’est ce que l’on appelle avoir le labeur, l’argent du labeur et les épinards.
Nous sommes dans un pays, disait Jean Amadou, où une personne qui cherche un emploi ne cherche pas pour autant du travail. Et, s’il est des gens simples et frustes qui pensent que tout travail mérite salaire, il y a aussi bien des gens bien plus instruits et avisés qui prouvent que tout salaire ne mérite pas forcément travail. Suivez mon regard…
Jour donc de la fête du travail, le premier jour de ce mois au nom si doux est aussi la date anniversaire de ce blog si charmant appelé « Fortunio et René-la-Science » puisqu’il fut créé il y a juste une année pour vous annoncer la parution de mon premier roman.
Depuis, il en est passé de l’eau sous les ponts et du pinot noir dans les verres. Vous avez eu droit à 114 messages dont 52 chroniques, 21 commentaires, une nouvelle livrée en 18 épisodes et la suite des aventures de Fortunio dont vous avez déjà pu lire 16 épisodes.
Que de chiffres ! Et le meilleur est pour la fin : en effet, le blog vient de compter sa cinq-millième visite en trois-cent-soixante-cinq jours ! Cela n’est pas rien et je me dois de remercier toutes celles et ceux qui sont venu(e)s visiter ce lieu de rafraîchissement intellectuel.
Ensuite, une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise d’abord : l’éditeur qui s’était engagé à publier le roman intitulé « Loin de la douleur passée » vient d’être mis en liquidation judiciaire. Donc, il ne publiera pas ce roman et j’ignore s’il remboursera les personnes qui m’avaient donné leur soutien en pré commandant ce livre. Toutefois, et je passe à la bonne nouvelle, je crois pouvoir dire que ce roman sera néanmoins publié avant la fin du mois de mai, sous un autre titre probablement. Et je m’engage à fournir un exemplaire dédicacé à chaque personne qui aura pré commandé ce roman. Franco de port et gracieusement comme il se doit. Celles ou ceux qui auraient effectivement pré commandé sont ainsi prié(e)s de me le faire savoir afin que je puisse de cette manière les dédommager.
Et, pour finir dignement, une petite question sur le travail : peut-on courir après avoir beaucoup trimé ?
On pressent par là qu’il y aura une furtive contrepèterie dans ce futur roman.
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