Chronique
du temps exigu (15)
L’histoire de sa famille est inscrite dans cette montagne où ses ancêtres ont
vécu. Et où ils sont morts. Morts et enterrés dans cette si jolie chapelle… Il
faut bien deux jours de marche pour faire revivre les souvenirs qu’Armand avait
tant et tant racontés à son fils, mort en Argonne, puis à Léon, le petit-fils.
La splendeur de la famille, le beau mariage d’Alfred et d’Elisabeth puis la
décadence et la chute dans la violence. Elisabeth la châtelaine devient
Elisabeth la boulangère.
Un siècle plus tard, ses deux descendants, Léon et
Antoine, se retrouveront à Morchamps.
Né en 1947 en Belgique,
Pierre Jooris part à dix-huit ans pour le Lot et Garonne où il est agriculteur.
Quinze ans plus tard, il travaille comme manœuvre chez un maçon. Il entre en
maçonnerie comme d’autres en politique : il n’a nulle compétence
particulière mais il est doué pour cela. Quinze années de plus et il devient
même moniteur de maçonnerie. Depuis sa retraite en 2007 il se consacre à
l’écriture.
Je propose ce texte comme quatrième de couverture pour une
nouvelle à paraître et cela m’aiderait d’avoir quelques commentaires de lecteurs.
Je compte sur vous.
Belle entrée en matière pour cette 4e de couverture. Les histoires de famille cachent toujours des surprises, des secrets ? On veut en savoir plus. S'agit-il d'un seul narrateur - si oui, lequel ? car à la lecture de la 4e, je n'arrive pas à savoir qui raconte l'histoire.
RépondreSupprimerAngie
Merci, en effet, il y a ambigüité sur le narrateur.
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