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dimanche 8 février 2015

Chronique du temps exigu (142)


Comme vous aurez été nombreux à l’avoir remarqué, je me suis par deux fois amusé à pasticher les bons auteurs dans ces chroniques. Il s’agit de la chronique 124 du 28 septembre 201 et de la chronique 141 du 1er février de cette année. Ces deux chroniques pasticheuses sont extraites d’un livre en construction qui s’appelle déjà « Contes de la sottise ordinaire ». Bien sûr, vous avez immédiatement reconnu les auteurs pastichés ainsi que trouvé le nom de l’œuvre, pastichée chaque fois dans sa première page. Bien sûr, ce ne sont pas ces œuvres qui font partie de la sottise ordinaire non plus que leurs auteurs que je remercie pour leur involontaire participation. Cette sottise se trouve à tous les coins de rue et mon propos sera de rappeler que c’est pas parce qu’on a mis le pied dedans qu’il faut y mettre les mains.
Donc, si quelqu’un d’entre les lectrices et lecteurs de ces chronique a reconnu les œuvres en question et en a débusqué les auteurs, qu’il ou elle le fasse savoir car un cadeau surprise sera réservé à la  première personne qui aura parlé, bien sûr.
Une fois étant devenue coutume, je vais faire de la promotion pour mon dernier livre paru : « Le Temps de l’éternité ». Il s’agit d’un recueil de deux nouvelles dont la seconde « Une si jolie chapelle » était déjà parue à part. Ce livre est en vente chez TheBook Editions pour la coquette somme de 11 Euros, port en sus. Je vous offre ici même le contenu de la quatrième de couverture :
Château à vendre ! Une petite visite, ça ne coûte rien et ça n’engage à rien. Enfin, il faut parfois une bonne dose d’inconscience pour remuer la poussière du passé, on peut s’y brûler les yeux.
Pijm van Zwartkluut est un petit profiteur qui prend plaisir à visiter des demeures et à se donner le frisson d’être châtelain d’un jour. Il visite La Furetière, un vaste domaine dont il connaîtra l’histoire à ses dépens et il apprendra qu’il n’y a ni devoir de mémoire ni devoir de prévoir et que ceux qui se vouent à ces devoirs acceptent de mourir sans avoir connu la vie.
Tant que le monde était monde, La Furetière a existé dans un temps où la vérité et la légende étaient si proches que l’on ne peut plus faire le départ entre elles. Parfois la légende permet de comprendre ce que la vérité peine à expliquer car il n’y a de vérité que dans l’instant présent et dans une seule personne. C’est donc le drac qui racontera à Pijm l’histoire de La Furetière, du Vème au XXème siècle. Mais le drac, on ne le rencontre pas comme cela…

On voit par-là que l’éternité, c’est assez long au début, surtout que ça n’en finit pas de commencer.

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