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dimanche 17 janvier 2016

Chroniques de Serres et d’ailleurs. (18)




Le début de l’année est toujours dégoulinant de vœux. Je ne rajouterai donc rien à cette avalanche de bons sentiments et de pieuses déclarations. Aussi, comme charité bien ordonnée commence par le début, je ferai un peu d’autopromotion, histoire de vous changer les idées. Je vais vous parler de mes livres, d’une part de ceux qui sont déjà publiés et d’autre part de celui qui vient de sortir.
D’abord « René-la-Science », un roman de 194 pages dont l’action se situe entre Marmande et Villeneuve-de-Sciérac, hypothétique cité qu’on pourrait situer dans le Rouergue. C’est l’histoire d’un maçon surnommé Fortunio qui rejoint son vieil ami René-la-Science » pour des courtes vacances qui vont se transformer en une chasse au trésor. Une rencontre nocturne inopinée va le plonger dans l’histoire du château de Montieu-Sciérac que hantent encore les vestiges d’un passé trouble : la planque de maquisards de la Seconde Guerre mondiale, un souterrain aux allures de mine d’or, un mystérieux squelette… Mêlée de rêves et de trahisons, l’aventure commence par un chantier pas comme les autres et se poursuit en péripéties imprévisibles comme en rebondissements inattendus au bout desquels Fortunio se retrouvera seul mais nanti d’un petit magot en pièces d’or qui fera l’objet d’un autre roman intitulé « Le magot de Fortunio » dans lequel ce dernier, revenu chez lui à Marmande, vit de son métier de maçon et garde ce magot jalousement comme un talisman jusqu’à ce qu’un malfrat s’en empare. On fait la connaissance de la ténébreuse Angie, de la sulfureuse Juliette, de la magouilleuse Lorène, de la valeureuse Suzanne et de la fumeuse Eliane.  Et aussi du brigadier Queutard, l’enquêteur qui croit que son petit doigt lui parle à l’oreille alors qu’il se le met… dans l’œil ; de Léon, le garagiste qui ouvre les serrures en soufflant dessus ; de Méva le greffier mignon qui n’est pas passé terrine du chef et de François Bonnefoi, l’homme qui fricote avec les nippones.  Et surtout le redoutable Sorgensen, incendiaire et étrangleur que Fortunio ne peut neutraliser à lui tout seul : pensez donc, il ne pratique ni les arts martiaux ni le tir au pistolet car il ne connait que le maniement de la truelle. Il se retrouve en taule puis, à peine libéré, encagé dans une cave toulousaine. Il sillonne les routes, de la Guyenne à l’Hérault, de la Haute-Garonne au Puy-de-Dôme et retour vers le Périgord. Il entre sans frapper chez les uns comme chez les autres, courant derrière Angie sans la rattraper, il soulève les tapis pour retrouver son magot et finalement, il double la mise.
Le troisième roman se passe en Bretagne et parle de l’étrange pouvoir des objets : un tableau peut en cacher un autre et détenir l’énigme de la mort du peintre et de son modèle. Pour que ce secret se dévoile, cet objet agit sur son propriétaire et lui fait vivre des péripéties cocasses ou dramatiques. Ce récit picaresque est rythmé par les histoires de Marondeau, l’antiquaire prolixe. Le quatrième livre rassemble deux nouvelles dont l’une plonge dans le passé le plus ancien d’un petit château avec en fil rouge la présence d’un petit drac nommé T’Inquiète, personnage intemporel qui seul peut raconter au nouveau propriétaire l’histoire des lieux. L’autre nouvelle raconte la marche en montagne d’un homme sur les traces de sa famille avec en contrepoint l’histoire dramatique de ses ancêtres.
Et enfin, vient de paraître un petit conte en 16 pages illustré par Xavier Claudel : « L’histoire de la fille qui n’avait plus de nom », histoire qui est celle d’une jeune fille qui perd volontairement son nom et quitte sa patrie, puis qui trouvera un autre nom et un mari avec lequel elle reviendra dans son pays où elle pourra soulever le peuple contre son oppresseur avant de repartir vers d’autres contrées. Tous ces ouvrages sont en vente auprès de l’auteur. Écrivez-moi et j’aurai grand plaisir à vous les faire parvenir avec une dédicace appropriée.

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