Chroniques judicieuses, malicieuses et facétieuses, le dimanche matin. Un feuilleton "Appelez-moi Fortunio" le jeudi matin. Et en prime, de la réclame pour les œuvres étonnantes de Pierre Jooris, en vente dans les meilleures librairies.
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dimanche 16 novembre 2014
Chronique du temps exigu (131)
Du 10
janvier 2013 au 3 juillet 2014, le voile a été levé sur ce qu’il est advenu du
magot en pièces d’or qu’Albert Forelle, maçon de profession surnommé Fortunio,
gardait comme un talisman dans sa maison de Marmande. On fait la connaissance
de la ténébreuse Angie, de la sulfureuse Juliette, de la magouilleuse Lorène,
de la valeureuse Suzanne et de la fumeuse Eliane. Et aussi du brigadier Queutard, l’enquêteur
qui croit que son petit doigt lui parle à l’oreille alors qu’il se le met… dans
l’œil, de Léon, le garagiste qui ouvre les serrures en soufflant dessus, de
Méva le greffier mignon qui n’est pas passé terrine du chef et de François
Bonnefoi, l’homme qui fricote avec les nippones. Ainsi que le redoutable Sorgensen, incendiaire
et étrangleur que Fortunio ne peut neutraliser à lui tout seul : pensez
donc, il ne pratique ni les arts martiaux ni le tir au pistolet car il ne
connait que le maniement de la truelle. Il se retrouve en taule puis, à peine
sorti, encagé dans une cave toulousaine. Il sillonne les routes, de la Guyenne à
l’Hérault, de la Haute-Garonne au Puy-de-Dôme et retour vers le Périgord. Il
entre sans frapper chez les uns comme chez les autres, courant derrière Angie
sans la rattraper, il soulève les tapis pour retrouver son magot et finalement,
il double la mise. Mais je ne vais tout de même pas tout raconter puisque le
livre est maintenant publié chez TheBookEditions et tout un chacun peut l’acheter
au prix de 13 Euros, port en sus. Et pour le même prix, vous pourrez continuer
à suivre les aventures de Fortunio et de son cabot sur ce blog, tous les jeudis
de toutes les semaines à l’exception des semaines des quat’ jeudis, bien sûr !
On voit
par-là que pour treize Euros on peut encore avoir tout un roman.
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