Voire !
Car la NASA, toujours prête à nous renseigner, dément formellement une telle
éventualité. Mais alors, qui croire ? Car d’une part, si la NASA disait
toujours la vérité, cela se saurait et, d’autre part, pourquoi la NASA s’applique-t-elle
à démentir ce qu’elle considère comme des rumeurs et des billevesées ?
Bien sûr, avec un nom pareil, il est normal que la NASA fourre son nez partout
et l’on ne peut tout de même pas croire qu’il s’agisse d’une fausse NASA…
Concluons donc que la fin du monde pourrait possiblement arriver en septembre
2015 et que, dans le cas contraire, elle sera remise à une date ultérieure.
Tout cela
veut dire qu’il vaut mieux se préparer à toute éventualité car ce n’est pas la
fin du monde qui est, à mon avis, la plus à craindre mais c’est l’après fin du
monde qui peut poser quelques problèmes. Au cas où elle surviendrait en ce mois
de septembre, je propose quelques précautions élémentaires comme d’avoir fait
pipi avant de partir et d’emporter une petite laine, le temps se rafraîchit et
il est certain que la fin du monde perturbera gravement les conditions
météorologiques. Cela dit, on peut penser que, pour le reste, il n’y aura que
de bonnes nouvelles : la Grèce se verra libérée du remboursement de ses
emprunts, Madame Merkel et son argentier Monsieur Wolfgang Schope-le perdront à
coup sûr les milliards que leur partie de poker-menteur a fait gagner sans coup
férir à leur gouvernement et il n’y aura plus de journaux télévisés ni de
journaux annonçant la fin de la fin du monde.
Relativisons
les choses : quand on parle de fin du monde, ce n’est pas forcément la fin
de tout mais seulement la disparition de notre petit monde. Ce n’est donc pas
la fin du cosmos et les plus frustrés ne seront pas ceux qu’on pense. En effet,
d’après un certain nombre de milieux bien informés, la MSA (Martian Spatial
Agency), après avoir envoyé des sondes sur la Terre, a déterminé qu’il y existe
une certaine forme de vie. Toutefois, il leur a semblé qu’il n’y a qu’une forme
de vie très élémentaire et dépourvue d’intelligence. Gageons que leurs sondes
ont atterri dans les jardins du FMI, de l’Elysée ou du château de Buckingham. Quoiqu’il
en soit, tout évènement fatal pour notre terre mettrait à néant les recherches
des martiens à notre sujet.
On voit
par-là que si nous prenons un coup de barre, avec Mars cela pourrait repartir.
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