Avertissement aux lectrices et aussi aux lecteurs
Cette nouvelle « Le
temps de l’éternité » vient de se terminer Vous aurez certainement
remarqué que, dans ce cas, le temps de l’éternité est long sur le début et
assez bref sur la fin. Mais l’éternité n’est qu’un moment à dépasser et,
puisque nous sommes dans une histoire de temps, je vous propose de revenir en
arrière. En effet, vous avez pu lire sur ce blog deux aventures de Fortunio
intitulées « Le magot de Fortunio » et « Un chien la nuit ».
Ces deux histoires faisaient suite à un premier livre
« René-la-Science ». Cette trilogie est racontée par celui qui a vécu
ces aventures, un certain Albert Forelle, surnommé Fortunio par son ami René
Cinsault, lui-même surnommé « René-la-Science ».
Cette fois, nous allons
remonter le temps, à l’époque où Fortunio n’était pas encore Fortunio et où
René Cinsault ne savait pas encore que Fortunio lui attribuerait son surnom. Au
commencement était le nom et ensuite le surnom prit forme, nous comprendrons
pourquoi et comment. De cette étrange aventure naîtra une amitié forte et
durable malgré le temps et les fortunes diverses.
Et cette fois, c’est moi
qui vous raconterai cette histoire qui m’a été racontée par le principal
intéressé un ténébreux soir de pluie et de boue, autour de quelques bouteilles
de vin, d’un saucisson et d’une livre de spaghetti. Et voilà comment il se fait
que, dans les jours qui viennent, vous pourrez lire les aventures d’un rebelle
et de sa bétonnière.
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