Chronique
du temps exigu (14)
Jeudi,
il y a eu un peu de retard à l’allumage et donc je vous ai livré un passage de
mon livre qui devrait sortir début 2013. La suite du passage incessamment sous
peu, bien sûr.
Mais que s’est-il donc passé pour que le Toscanini du
compresseur-Diesel-deux-temps-à-démarrage-manuel ait ainsi négligé de livrer
une chronique ?
La réponse est simple : il était fort occupé à faire
ch… les c… . De qui, de quoi ? De quoi s’agit-il ? Pourrais-tu
prononcer tout cela plus clairement ? Bon, disons que je tentais de
mettre un grain de sable dans la machinerie infernale de la stupidité
républicaine. Et cela peut prendre du temps ! Non qu’il soit difficile de
trouver un grain de sable mais parce qu’il n’y a pas l’épaisseur d’un papier à
cigarette entre les rouages de la médiocrité démocratique.
Il s’agit bien d’un mécanisme huilé, implacable et
reproductible à l’infini. Bien sûr, l’élu sensé fait l’orgueil de la Nation,
mais point trop n’en faut. La Nation s’en voudrait de pécher par orgueil…
Mais foin de tout cela, rappelons ce que disait notre ami
Marondeau (cf. 3 juin) :
« Voyez, vous et moi, qu’irions-nous nous salir
l’esprit avec ces débiles et leurs électeurs alors qu’il y a tant de belles
choses à regarder, de choses intéressantes à faire et de belle musique à
écouter ? ».
Elle était riche de vingt ans,
Moi, j’étais jeune de vingt francs,
Et nous fîmes bourse commune,
Placée à fonds perdu, dans une
Infidèle nuit de printemps…
La lune a fait un trou dedans,
Rond comme un écu de cinq francs,
Par où passa notre fortune :
Vingt ans ! Vingt francs !... et puis la lune !
-En monnaie – hélas – les vingt francs !
En monnaie aussi les vingt ans !
Toujours de trous en trous de lune,
Et de bourse en bourse commune…
-C’est à peu près même fortune !
(…)
Et alors, personne ne sait de qui est ce poème à la mémoire de Zulma, vierge-folle hors barrière -Et d'un louis-?
RépondreSupprimerBon, ben s'il faut que je fasse les questions et les réponses, je le ferai...
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